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Gardens : ultimes décisions ?

Dernière mise à jour : 9 avr.

Suite à un sondage réalisé auprès des salarié·es OWI et OINIS, la direction d'Orange a constaté un très faible intérêt pour les sites périphériques de Paris (Rosny, Créteil, Gentilly, Noisy et Montigny). En conséquence, ces sites alternatifs ont été abandonnés. Les sites de Diderot et le bâtiment « Archives » ont été retenus comme solutions temporaires.


À partir de novembre 2025, le site de rattachement de ces salarié·es sera GARDENS. Cela signifie que tou·tes les salarié·es concerné·es pourront remplir le "Formulaire de déclaration et de demande d’indemnisation liée à l’aggravation du temps de trajet".


La volonté de la direction d'Orange est bien de vendre tous les bâtiments d'Archives à l’exception de pastourelle 3 qui après travaux accueillera les équipes d'Orange Event, l'UCI, supervision 24/7 OINIS... Une étude capacitaire est lancée sur ce bâtiment afin de savoir quelle place pourrait être alloué à Orange Wholesale. Combien de mettre carrés et où ?


La direction d'Orange a la volonté de vendre tous les bâtiments d'Archives, à l'exception de Pastourelle 3. Après travaux, ce bâtiment accueillera les équipes d'Orange Event, l'UCI, la supervision 24/7 OINIS, et d'autres services. Une étude capacitaire est en cours pour déterminer combien de places pourraient être allouées à Orange Wholesale.

Celle-ci devrait être présentée aux élus qu'au CSEE des 20/21/22 mai 2025, avec l'ouverture d'une information-consultation (soit 1 mois après le recueil d'avis des élus du CSEE Orange Wholesale pour le projet Gardens). La direction Orange Wholesale condidérant ces projets comme étant indépendants les uns des autres.



Déroulement :

Novembre 25

Juillet 26

Novembre 26



En résumé, le travail de l'intersyndicale, les nombreuses remontées en CSE et les retours auprès des directeurs des ressources humaines ont clairement mis en lumière le rejet de ce projet et son impact sur nos vies. L'entreprise a pris conscience de l'ampleur des préoccupations soulevées et s'efforce de rendre la transition aussi acceptable que possible. Les discours ont évolué : il ne s'agit plus d'un projet idéal où tout serait parfait, mais d'une initiative où la direction tente de limiter les désagréments, en fonction des moyens que Chrystel Heydemann souhaite mettre à disposition.




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